Les titulaires de charge élus (David Fricker, Andreas Kellerhals, Henri Zuber) se sont joints hier à l’équipe du Secrétariat  (David Leitch, Nathalie Florent)  pour exprimer leur gratitude envers Annick Carteret qui achève sa longue et consciencieuse carrière à l’ICA.
David Fricker, Henri Zuber, David Leitch
Etaient également présents, Charles Kecskeméti (ancien Secrétaire général) et Odile Welfelé (représentant les Archives de France).
Annick Carteret, Charles Kecskeméti
David Fricker, Henri Zuber, David Leitch, Odile Welfelé, Annick Carteret
David Fricker a offert à Annick un « livre d’or », réalisé spécialement pour l’occasion, contenant des photographies d’Annick à différentes étapes de sa carrière et les hommages de nombreux membres de l’ICA à travers le monde. Le groupe a ensuite profité d’un déjeuner de célébration en l’honneur d’Annick dans un restaurant non loin du Secrétariat de l’ICA.
David Fricker, Annick Carteret
Nathalie Florent, Annick Carteret, Charles Kecskeméti, Andreas Kellerhals
 David Fricker, Annick Carteret, Charles Kecskeméti, Andreas Kellerhals
 
David Leitch, David Fricker, Annick Carteret, Charles Kecskeméti, Andreas Kellerhals
 
Vous trouverez ci-après le texte d’introduction du « livre d’or » rédigé par George Mackenzie, qui a travaillé étroitement avec Annick durant de nombreuses années, en particulier sur l’organisation du Congrès de Beijing en 1996.

L’ICA est une merveilleuse organisation jouissant d’un réseau mondial. Au centre de ce réseau, existe le petit bureau du Secrétariat à Paris. Au centre de ce bureau, s’assurant de son bon fonctionnement, se trouve Annick. S’occupant des comptes, gérant les contrats, organisant les réunions, elle est également l’encyclopédie vivante de l’ICA présent et passé. Ses connaissances ont été d’une grande valeur lorsque j’ai travaillé pour le Secrétariat en 1995-1996, alors que nous modernisions l’organisation.  Elle a été capable d’expliquer l’évolution de l’organisation de ses débuts à nos jours, et pourquoi certains aspects, qui me semblaient bureaucratiques ou bizarres, avaient été développés pour répondre à des besoins particuliers. Elle a également raconté les différentes structures qui avaient été utilisées dans le passé et indiqué si elles avaient fonctionné ou non. Tout ceci nous a aidés à éviter les écueils du passé et a permis de construire un ICA meilleur et plus fort.
Entre deux périodes de travail, nous nous enseignions les expressions courantes de nos propres langues. Une fois elle m’a conseillé de ne pas utiliser une expression que j’avais lue sur un panneau apposé dans l’ascenseur de mon immeuble. Le panneau disait que si l’ascenseur s’arrêtait entre deux étages, il fallait appuyer sur le bouton rouge et de l’aide serait envoyée « dans les meilleurs délais ». Pensant que cela signifiait « aussi vite que possible », j’ai utilisé cette phrase dans un rapport sur l’intervention d’urgence pendant la guerre de Bosnie. Jusqu’à ce qu’Annick m’indique que la traduction était plutôt « en temps voulu ».
L’ICA que nous connaissons aujourd’hui, respecté aux quatre coins du monde, doit beaucoup au travail en coulisse réalisé par Annick et son équipe. Alors qu’elle prend une retraite bien méritée, elle mérite également nos vifs remerciements et nos meilleurs souhaits pour la suite.
George MacKenzie, Secrétaire général adjoint, 1996-1998, Royaume-Uni

 Odile Welfelé, Henri Zuber, Annick Carteret, Charles Kecskeméti