Margaret Crockett, Secrétaire générale adjointe, responsable des conférences soutenant actuellement les travaux de PCOM, a assisté à la Conférence ESARBICA « Archives du 21e siècle et au-delà: changement de paradigme historique et technologique» qui s’est tenue du 3 au 7 Juin dernier.
 
 
Margaret a été invitée à ouvrir officiellement l’atelier sur la planification en cas de désastre qui précédait la conférence – « cet atelier, très suivi, a été d’une grande qualité, conduit par d’excellents orateurs qui ont apporté des idées et des plans d’actions pour le développement d’une expertise en planification des désastres, et ont offert de nombreuses possibilités pour les jeunes et nouveaux professionnels de donner leur point de vue et poser des questions.
 
 
Bien qu’elle se soit déroulée dans un grand amphithéâtre, l’organisation de la conférence était informelle et encourageait l’apprentissage ». Le nombre de participants a dépassé les attentes puisque 140 personnes s’étaient inscrites avant l’événement et qu’au moins 250 ont réellement participé à la manifestation.
Margaret a fait une présentation au Conseil d’ESARBICA, leur résumant les derniers développements de l’ICA. Elle a également introduit le contrat récemment signé avec l’UNESCO pour l’élaboration d’un programme pilote de conservation numérique qui mettra un accent particulier sur la circonscription africaine, à l’ensemble des conférenciers. Elle a également encouragé le Conseil à travailler conjointement afin de faire une offre d’accueil de la Conférence Annuelle de l’ICA en 2015, qui se tiendra dans un pays africain.
 

Margaret Crockett, Dr. Hassan Wario, et Alistair Tough
 
La conférence principale, également « de très haute qualité » a été très réussie. Elle a été ouverte par le Ministre Kenyan des Sports, de la Culture et des Arts, le Dr.Hassan Wario, et Alistair Tough (Royaume-Uni) en a effectué le discours d’ouverture. L’ambiance était très chaleureuse, collégiale, et la SGA a noté que les « collègues plus âgés et plus expérimentés, considérés avec respect par les autres, ont également travaillé dur pour former leurs compatriotes professionnels moins expérimentés ». Quand on lui a demandé quel était son meilleur souvenir de la conférence, la SGA a répondu : « danser sur scène en compagnie des gens de tous les pays représentés par ESARBICA et le sentiment de bienvenue et d’appartenance ».
ESARBICA doit être félicité pour une telle réussite.